Ministère des Relations avec le Parlement : Journée d’étude sur la dimension académique de la consultation législative
Le ministère des Relations avec le Parlement a organisé, mardi à Alger, une Journée d’étude sur « La dimension académique de la consultation législative » lors de laquelle l’accent a été mis sur les efforts consentis pour consacrer les fondements de la démocratie participative dans le pays. A cette occasion, la ministre des Relations avec le Parlement, Kaouter Krikou, a précisé que cette Journée d’étude visait à mettre en exergue « les principales traditions » instaurées par le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, pour consacrer les fondements de la démocratie participative qu’incarne l’Algérie victorieuse. Elle a, dans ce cadre, rappelé le discours du président de la République devant les deux chambres du Parlement et ses rencontres périodiques avec la presse nationale, soulignant l’intérêt qu’il porte aux préoccupations des citoyens qu’il veille à associer en tant que « partie agissante ». Pour la ministre, le Conseil supérieur de la jeunesse (CSJ) est « un véritable modèle » qui incarne la démarche visant à associer les jeunes à « la prise de décisions sur les dossiers qui les concernent ». Pour sa part, le ministre de la Communication, Mohamed Meziane, est revenu sur l’importance de la démocratie participative dans « l’interaction avec les questions posées », précisant que le président de la République, depuis son investiture à la magistrature suprême du pays, « s’est inspiré des valeurs de la glorieuse Révolution du 1er Novembre, qu’il a érigées en source d’interaction entre gouvernant et gouverné ». M. Meziane a également mis en avant le rôle des médias dans « l’explication des lois et des législations », ce qui favorise, a-t-il dit, la participation et l’interaction des citoyens. Le ministre de la Jeunesse, chargé du CSJ, Mustapha Hidaoui, a rappelé, quant à lui, que le président de la République avait instauré de « nouvelles traditions en matière de gestion de la chose publique », mettant en avant le rôle des instances comme le Conseil supérieur de la jeunesse et l’Observatoire national de la société civile (ONSC) dans la consécration de la démocratie participative.