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La transformation numérique en Algérie : un véritable moteur du développement socio-économique

La présidente de la Commission des transports, de l’énergie, de l’industrie, des communications, et de la technologie du Parlement panafricain (PAP), Mme Bahdja Lammali, a affirmé que la transformation numérique en Algérie « n’est pas seulement un projet technologique, mais aussi un véritable levier de développement socioéconomique, a indiqué samedi un communiqué de l’Assemblée populaire nationale (APN). Lors de sa participation à un workshop de haut niveau sur « la transformation numérique et les systèmes idéologiques d’innovation pour accélérer le développement intégré en Afrique », tenu à Midrand (Afrique du Sud), Mme Lammali a précisé que la transformation numérique en Algérie « n’est pas seulement un projet technologique, mais aussi un véritable levier de développement socioéconomique », soulignant que l’objectif est de « construire une administration moderne, une économie numérique compétitive et une société plus inclusive et innovante ». La transformation numérique en Algérie , poursuit-elle, « s’inscrit dans le cadre de la stratégie Algérie numérique 2030, qui vise à faire de la numérisation un moteur puissant de la diversification économique, à créer de nouveaux emplois et à renforcer la position du pays au double plan régional et international ». La responsable parlementaire a mis en avant la « croissance notable » du secteur des start-up en Algérie, où « des jeunes innovants proposent des solutions numériques dans des domaines vitaux tels que l’agriculture intelligente, la santé électronique et les services financiers, à même de renforcer la place de l’Algérie en tant que moteur régional de la transformation numérique ». Mme Lammali a affirmé, par ailleurs, que l’Afrique se trouve « à l’aube d’une révolution numérique qui ouvrira des perspectives prometteuses pour la croissance et l’innovation », soulignant que la transformation numérique « constitue une opportunité stratégique pour renforcer le développement durable, soutenir les entrepreneurs et créer de nouveaux emplois », ajoute le communiqué. Elle a, dans ce cadre, souligné que la coopération entre les gouvernements, le secteur privé et la communauté internationale est « la meilleure voie pour bâtir une économie numérique compétitive, à même d’accompagner les mutations mondiales ». La présidente de la commission des transports, de l’énergie, de l’industrie, des communications et de la technologie au PAP a affirmé que cette orientation « cadre avec l’agenda 2063 de l’Union africaine (UA) et des objectifs de développement durable des Nations unies », relevant que « l’économie numérique constitue un élément central dans la réalisation du progrès socioéconomique du continent ». A cette occasion, elle a mis l’accent sur le « rôle pivot » des start-up africaines dans la conduite de cette révolution, à travers des innovations dans les domaines du paiement mobile, de l’agriculture intelligente, et de la logistique numérique, outre les initiatives gouvernementales visant à renforcer l’économie numérique et à bâtir une société plus inclusive ».

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