Ennahda : ouverture officielle de l’université d’été des cadres

Les travaux de l’université d’été des cadres du mouvement Ennahda ont débuté, vendredi à Alger, sous le slogan « l’Algérie…et l’impératif de relever les défis d’avenir », lors desquels le président du mouvement, Mohamed Douibi, a souligné la nécessité de conjuguer les efforts en vue de relever les défis.
Présidant l’ouverture de cette université, en présence de plusieurs chefs de partis politiques et présidents d’organisations et d’associations nationales, ainsi que de représentants de factions palestiniennes, M. Douibi a affirmé que « les Algériens, à tous les niveaux, n’ont qu’un seul choix: relever les défis dans tous les domaines », dont celui de la transformation numérique et de l’intelligence artificielle. Dans ce contexte, il a précisé que « le monde vit aujourd’hui une révolution technologique inédite qui redéfinit les concepts de la force et de l’influence, et les pays puissants ne sont plus ceux qui possèdent des richesses matérielles uniquement, mais ceux qui détiennent la connaissance et ont la capacité de la produire et de l’employer au service du développement et de la souveraineté nationale ».
Il a rappelé, à cette occasion, que dans une époque où les défis s’accélèrent et les questions d’avenir se renouvellent, son mouvement poursuit son parcours dans les domaines de la pensée, de la politique et de la réforme, ajoutant qu’il a toujours veillé à « organiser les universités d’été au profit de ses cadres et de ses militants comme un espace de formation, de renouvellement et de révision des idées, en phase avec les défis et les enjeux nationaux de chaque étape, et le voilà, aujourd’hui, qui choisit un thème à cette édition à la mesure de la patrie et de ses ambitions ».
A la veille du 71e anniversaire du déclenchement de la glorieuse Révolution de libération, qui a délivré le peuple algérien des affres du colonisateur français inique, « nous nous inclinons, aujourd’hui, avec respect et déférence, en hommage à tous les moudjahidine fidèles et dévoués qui ont refusé l’occupation, œuvré à dévoiler ses plans ignobles, et préparé le peuple algérien à cette glorieuse Révolution, et nous leur affirmons que leur legs sera, si Dieu le veut, bien préservé », a assuré M. Douibi.









